Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Bossuet au menu des résistants pédagogiques

16/07/2010 22:01

Bossuet au menu des résistants pédagogiques


par David Desgouilles
En écoutant le poste ce matin au réveil, j’ai été interloqué par une information. Figurez-vous que le collectif qui lutte contre la fameuse “base élève”, après qu’il a obtenu que certaines informations comme l’origine des élèves soient boutés hors du fichier, a reporté sa vindicte contre le fameux livret de compétences. Ni une ni deux, je me suis précipité sur mon ordi afin de faire une recherche” base élèves, livret de compétences”. Et je n’ai pas été déçu.
Très vite, en effet, je me suis retrouvé sur un article du site du Collectif pour le retrait de la base élèves. Cet article explique, en long, en large et en travers en quoi ce livret de compétences s’avère nuisible, en particulier pour les libertés de nos chers enfants. En ce qui me concerne, cette évaluation par validation de compétence, qui se substitue doucement et sûrement aux bonnes vieilles notes, me faisait horreur avant même d’apprendre que nos résistants au Big-Brother-Educ-Nat ne s’empare du sujet. Citons les : “Rompant la séparation entre vie publique et vie privée, autrement dit avec les valeurs de laïcité et d’égalité, il s’agit de faire entrer l’enfant, le jeune, dans une auto-évaluation permanente de ses « compétences » : « les connaissances, capacités et attitudes acquises dans le cadre associatif ou privé, notamment familial, ainsi que les réalisations, participations et engagements que le jeune aura pu y conduire » sa vie sociale,par exemple musicales ou sportives, quelle association il fréquente, sa vie familiale, si il s’occupe d’un grand parent malade, s’il aide son petit frère à faire ses devoirs, ses voyages, la « langue native ». Bref, un fichier face-book-Edvige !” . Je dois dire que je bois du petit lait. Non pas que je pense, comme ce collectif, que le fait de participer à des actions associatives et que cela se sache à l’Ecole nuise à la liberté d’un gosse. Mais, en revanche, que cela soit considéré comme une compétence, lui donne un meilleur livret scolaire et compense un niveau catastrophique en grammaire, cela me pose effectivement problème. Si l’Ecole pouvait revenir aux disciplines, qu’on ne stigmatise -ni ne discrimine- plus les notes en les qualifiant de stigmatisantes et traumatisantes, j’en serais plutôt heureux. Qu’on en revienne au Savoir au centre, mais on connaît mon avis sur ce thème.
On ne choisit pas forcément ses alliés dans une guerre, surtout celle contre le pédagogisme, qui n’est pas la moins décisive dans un souci d’avenir moins sombre. Si de bonnes âmes, pour des raisons différentes que les nôtres, ont décidé de se faire l’évaluation par validation de compétence, ne boudons pas notre plaisir. Mais la curiosité, qui paraît-il est un vilain défaut, m’a convaincu de regarder les liens privilégiés qui se trouvent, sur le site de ce collectif de résistants comme d’ailleurs sur le mien, sur la marge droite de l’écran. Il y en a trois : celui des “Big Brother awards”, celui, plutôt connu dans la blogosphère, de la LDH de Toulon, et, last but not least, celui s’intitule sobrement “Résistance pédagogique”. A curiosité, curiosité et demie, je clique sur ce dernier. Et -quelle n’est pas ma surprise !- j’arrive sur une publicité pour le bouquin du “désobéissant” le plus médiatique de l’Education Nationale, Alain Refalo. Ce dernier est connu pour avoir lutté bravement contre les programmes Darcos de l’enseignement primaire. A ce titre, son livre est même préfacé par le pape du pédagogisme Philippe Meirieu. Plus bas, on trouve des nombreuses références à Pierre Frackowiack, l’inspecteur qui se targuait lui aussi de désobéir à son ministre parce que ce dernier suggérait de permettre enfin que des instituteurs puissent apprendre à lire avec la méthode alphabétique plutôt qu’avec la méthode globale ou ses dérivées qu’on appelle, à tort, mixtes.
Quelle franche rigolade ! Le livret de compétences, c’est Meirieu, c’est Frackowiack, c’est Antibi -l’homme qui trouve les notes macabres ! Et voilà que notre collectif qui lutte contre le livret de compétences devenu liberticide, fait ami-ami sur la Toile avec ceux qui l’ont inventé, promu et imposé. Nous ne devrions pas être étonnés. Tous ces collectifs naviguent dans les mêmes eaux pédagogos depuis longtemps, eaux dans lesquelles on peut aussi trouver les pontes de la FCPE ou du SGEN, de l’UNSA-SE et parfois même du SNES ou de la PEEP1 .
On connaît la fameuse citation de Bossuet “: Dieu se rit de ceux qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes”. En attendant, laissons lutter ces zozos contre le fruit de leurs combats antérieurs. On ne sait jamais. La si dangereuse évaluation par validation de compétence pourrait y rester et on n’en serait pas fâché.
 
  1. On ajoutera le fameux député UMP Grosperrin, qui se trouve être mon député et qui souhaitait, dans un rapport récent, réformer le Brevet des collèges dans le même sens. Les épreuves notées sur table, c’est bien trop traumatisant et stigmatisant. Pas étonnant qu’un parlementaire, prof de sciences de l’éducation, finisse par trouver le travail traumatisant : il n’y avait qu’à l’observer pendant l’élection cantonale qu’il a perdue en mars 2008. Vissé au tabouret d’une brasserie, on ne peut en effet qu’offrir l’un des cantons les plus à droite du département à un écologiste. Il s’agit là d’un traumatisme électoral. Pas étonnant que des observateurs qui ne votent ni UMP ni Vert, comme votre serviteur, en vienne à le stigmatiser.

http://carnet.causeur.fr/antidote/bossuet-au-menu-des-resistants-pedagogiques,00698






Intérêt général et souveraineté en Europe (2/4) : les travers du modèle supranational

16/07/2010 21:48

Intérêt général et souveraineté en Europe (2/4) : les travers du modèle supranational


Nous devons donc sans doute déplacer le débat sur la meilleure manière de défendre l’intérêt général des peuples européens. Depuis toujours, deux conceptions s’opposent. La première, centralisée et supranationale, depuis Bruxelles, est celle qui s’est imposée depuis un quart de siècle et l’Acte Unique Européen. La deuxième, décentralisée et reposant sur une coopération volontaire de nations souveraines, le modèle de la CEE tempéré par le compromis de Luxembourg
La question que nous devons alors nous poser est « est-ce que le modèle actuel de construction européenne défend bien l’intérêt général des peuples qui la composent ? » et « est-ce que ce modèle n’a pas tendance à ne défendre que les intérêts des puissants, au mépris de tous les autres, y compris contre l’avis démocratique de la majorité ? ».
Le modèle européen, au service des puissants
L’histoire récente nous enseigne très clairement que le modèle fédéral ne semble défendre que les intérêts des puissants. Il y a quelques mois, le gouvernement Français était intervenu pour demander à Renault (dont l’Etat est actionnaire) de ne pas davantage délocaliser la production de la Clio en Turquie. Cette demande vient bien tardivement, quand on sait que les constructeurs Français ont délocalisé 50% de leur production en seulement quatre ans.
Cependant, elle montre bien la logique dogmatiquement néolibérale de la Commission pour laquelle les Etats, fussent-ils actionnaires, ne sauraient mettre la moindre contrainte aux décisions des entreprises, même quand ces décisions impliquent la destruction de milliers d’emplois. Bref, si Bruxelles défend bien efficacement les intérêts de Renault et de ses actionnaires (et encore pas tous), on ne peut pas en dire autant des intérêts des salariés de l’ancienne Régie.
Autre exemple frappant. Les peuples et les gouvernements européens sont aujourd’hui extrêmement réservés à l’égard de la culture des OGM. Pourtant, inlassablement, la Commission Européenne cherche à imposer la culture de nouvelles variétés, utilisant même les dispositions des traités jusqu’à l’absurde puisqu’il  a fallu une majorité qualifiée d’Etats pour empêcher Bruxelles d’imposer la commercialisation de certains OGM. Là encore, l’Europe défend bien les intérêts de Monsanto…
Dernier exemple : l’Europe a imposé la libéralisation des renseignements téléphoniques. Il y a une dizaine d’années, pour 3,65 francs, on pouvait obtenir trois numéros en appelant le 12. Aujourd’hui, obtenir un numéro revient volontiers à 1,5 euros, soit une multiplication par près de 10 du coût du renseignement, le tout en devant se remémorer des numéros plus compliqués. Bonjour les bienfaits de la libéralisation ! Là encore, c’est l’intérêt des entreprises qui a été défendu, et pas celui des peuples.
Le cas du FMI
En fait, c’est sans doute le cas de toutes les organisations supranationales. Dans « La Grande désillusion », Joseph Stiglitz raconte un voyage qu’il avait fait au Maroc en 1998, alors qu’il travaillait à la Banque Mondiale. Une ONG avait développé l’élevage de volailles par villageoises. Elle s’était appuyée sur une entreprise d’Etat qui distribuait les jeunes poussins. De retour au Maroc quelques mois plus tard, il constata l’échec de cette initiative. Le FMI était intervenu et avait décrété qu’il n’était pas du ressort de l’Etat de commercialiser de jeunes poussins. Malheureusement, le secteur privé n’avait pas pris le relais. Le livre du prix Nobel d’économie regorge d’exemples plus aberrants les uns que les autres.
Les travers du modèle supranational
En fait, les instances supranationales souffrent de deux travers majeurs : un dogmatisme néolibéral généralisé et un refus profond de toute remise en cause démocratique. C’est ainsi que nous en sommes arrivés à la monstruosité institutionnelle que représentait l’inscription de « la concurrence libre et non faussée » comme un objectif de l’Union Européenne dans le TCE. Au mieux, cette concurrence peut être un moyen, pour un libéral, d’obtenir un développement économique.
Mais les libéraux vraiment démocrates auraient du s’opposer à la promotion de « la concurrence libre et non faussée » comme un objectif puisqu’il revient au peuple de choisir la direction politique du gouvernement, cette direction pouvant avoir une vision complètement différente de la concurrence. En fait, on constate une habitude très malsaine de ces institutions qui consiste à figer les politiques dans une direction et les mettre « à l’abri » des choix démocratiques, dans les traités.
Alors que le projet européen devrait organiser la répartition des pouvoirs et des coopérations (le contenant), il se soucie de plus en plus de la définition des politiques (le contenu), qui devrait pourtant être à la discrétion des dirigeants du moment, et non pas gravées dans le marbre éternel des traités et défendues par des chevaliers servants (les commissaires), quelles que soient les orientations politiques des gouvernements en place dans les pays européens.
Comme le dit bien Frédéric Lordon, « en appeler au gouvernement mondial est le plus sûr moyen d’avoir la paix – entendre – pas de gouvernement du tout », « la mondialisation a précisément eu pour effet de redéployer les marchés à l’échelle mondiale, c’est-à-dire dans un environnement de faible densité institutionnelle ». Les constructions supranationales organisent l’absence de prise des gouvernements sur les politiques au mépris de la volonté des peuples (cf le TCE).
Laurent Pinsolle
Texte issu de mon intervention au colloque Souveraineté du 18 juin à la Sorbonne





Intérêt général et souveraineté en Europe (1/3)

15/07/2010 15:18

Intérêt général et souveraineté en Europe (1/3)


Nous assistons aujourd’hui à un double mouvement depuis un peu plus de 20 ans en Europe : d’une part, un détricotage des souverainetés nationales au profit de Bruxelles, de l’autre, une montée générale des inégalités. Peut-on y voir un lien de cause à effet ?

Peut-on parler d’un intérêt général européen ?

Des inégalités croissantes et partagées           

Même si je ne crois absolument pas à l’existence d’un peuple européen, cette question est intéressante. En effet, si les faiblesses de la construction monétaire qu’est l’euro montrent que les pays n’ont pas convergé sur de nombreux points, on constate que sur certaines dimensions, il y a une évolution parallèle. Dans la quasi totalité des pays européens, il y a une augmentation des inégalités. L’intégralité ou presque de la création de nouvelles richesses va à une petite minorité.

En France, une étude de Camille Landais montre ainsi que depuis une dizaine d’années, les revenus réels de 90% de la population ont progressé de 4%, tandis que ceux du 1% les plus riches ont progressé de 19% et ceux des 0.1% de 32%. En Allemagne ou en Grande-Bretagne, les chiffres sont encore plus frappants puisque les bas revenus ont perdu du pouvoir d’achat.

L’horizon semble être les Etats-Unis, où le salaire minimum a baissé de 30% depuis les années 70 selon Paul Krugman, et où 0.1% de la population touche 8% de l’ensemble des revenus. Pire, l’éditorialiste du New York Times et prix Nobel d’économie 2008 démontre également la profonde injustice du système éducatif où les bons élèves pauvres n’ont pas plus de chances d’aller à l’université que les mauvais élèves riches, du fait du coût exorbitant des études secondaires.

Comme souvent, le Général de Gaulle avait vu juste quand il disait en 1965 que « le laissez faire, le laissez passer, appliqué à l’économie a souvent donné au développement une profonde impulsion, mais on ne saurait méconnaître qu’il en est résulté beaucoup de rudes secousses et une somme énorme d’injustices ». Le système économique actuel, basé sur une déréglementation généralisée est injuste car le développement économique n’a de sens que s’il est partagé par tous.

Le sentiment d’un intérêt général européen

En fait, beaucoup de nos compatriotes pensent aujourd’hui que les vieux Etats nations européens sont trop petits pour défendre leurs intérêts face aux géants étasuniens, chinois, ou indiens. Ainsi, ils croient à une forme d’intérêt général européen, où l’Europe serait le levier pour mieux défendre les intérêts des pays du vieux continent dans le cadre d’un monde globalisé dominé par des géants.

C’était bien entendu le cas de la plupart des partisans du « oui » lors du référendum sur le TCE. Mais je crois que c’est également le cas d’une partie importante de ses opposants, qui voulaient plus une autre Europe que pas d’Europe. D’ailleurs, ce n’est pas faux quand on examine la réussite qu’a été la PAC dans un premier temps, ou Airbus. Demain également, c’est par l’Europe qu’une partie de la réforme de la finance pourra être poussée, les Etats européens ne pouvant pas tout faire.

Certes, nous pouvons y opposer le cas d’Etats indépendants, qui parviennent à maintenir leur modèle malgré la mondialisation. Au-delà de la Suisse ou de la Norvège, trop atypiques pour représenter des exemples, le Danemark, la Suède ou la Grande-Bretagne montrent que l’échelle européenne n’est pas la solution indépassable. Malgré tout, la crise fait que cet argument risque de ne pas peser lourd face aux inquiétudes provoquées par l’émergence de la Chine…

Demain, les deux voies pour défendre l’intérêt général en Europe

Texte issu de mon intervention au colloque Souveraineté du 18 juin à la Sorbonne

Laurent Pinsolle

http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/






Les portugais méritent mieux que Moody's and co !

15/07/2010 14:55

Les portugais méritent mieux que Moody's and co !


Alors que l'agence de notation américaine Moody's vient d'abaisser de deux crans la note souveraine du Portugal, Debout la République apporte son soutien plein et entier au peuple portugais.
Pas assez de rigueur ? Les agences de notation sanctionnent.
Trop de rigueur ? Elles sanctionnent d'autant plus.
En fait, cette dégradation de la note du Portugal est révélatrice de l'échec d'un plan européen qui assèche les économies sans leur offrir la bouffé d'oxygène que constituerait une sortie de l'euro. Moddy's l'avoue en se déclarant « préoccupée par le potentiel de croissance à moyen terme » du Portugal.
C'est pourquoi Debout la République appelle le peuple portugais à sanctionner un gouvernement socialiste qui collabore avec Bruxelles et accepte sans vergogne d'étouffer sa croissance sans pour autant réduire son déficit. Car bien évidemment ce qui devait arriver arrive : quand un pays réduit drastiquement ses dépenses sans pour autant dévaluer sa monnaie, il ne fait que le plonger dans une déflation qui entraîne à son tour plus de déficit !
Comme en France, seule une sortie de l'euro permettra de redresser le pays en lui rendant sa souveraineté monétaire, c'est-à-dire en ne dépendant plus de banques qui se sont accaparé la création d'une monnaie qu'il font payer très cher aux citoyens par les taux d'intérêts qui se cumulent dans le temps.
Le vieux peuple portugais est fier et il a raison de l'être. Il dispose d'atouts extraordinaires, d'un dynamisme qui n'est plus à prouver et d'une culture richissime. Il ne doit plus se laisser impressionner par une oligarchie dont leur pays a malheureusement enfanté le plus docile serviteur, José Manuel Durão Barroso.
Lorsque l'on connaît les liens qui unissent la France et le Portugal - et notamment l'importance de l'entrepreuneuriat luso-descendant dans notre tissu de PME - nul doute que les français comme les portugais doivent se rebeller face à un modèle dominant que des institutions supranationales cherchent à nous imposer.
C'est quand même un comble de voir un monde financier sauvé par l'agent public accuser maintenant les Etats qui l'ont aidé d'être ruinés. C'est comme écouter l'ivrogne qui nous promet qu'il va arrêter de boire. Stop ! Assez ! Envoyons tout ce beau monde et leurs représentants en cure de désintoxication. La cure commence par la sortie de l'euro, elle se poursuivra par la dénonciation des Traités européens et conduira des élus fiers d'être portugais, Français ou Grecs, bien décidés à défendre les intérêts de leurs pays respectifs, plutôt que de se soumettre au "modèle dominant".
Car pour tous ceux qui ne s'en seraient pas encore rendu compte, le modèle dominant est mort. Il est mort dans la crise financière. Il est mort dans son incapacité à évoluer.
Reprenons notre liberté !
NDA





Hommage à nos soldats

15/07/2010 02:19

Hommage à nos soldats


En ce 14 juillet, jour de fête nationale, Debout la République et Nicolas Dupont-Aignan souhaitent rendre hommage à nos soldats. Ainsi, en Afghanistan, ce sont 3000 militaires français qui sont engagés, et nous avons perdu déjà au moins 45 soldats.
Rien ne peut justifier la mort d’un homme au combat, si ce n’est la défense de l’intérêt supérieur de la partie. Or, que font précisément nos soldats en Afghanistan ? Quels intérêts protègent-ils ? A quels ordres obéissent-ils ? Autant de questions laissées sans réponse par Hervé Morin.
Debout la République regrette en outre que Bernard Accoyer refuse systématiquement toute demande de minute de silence à l’Assemblée Nationale en leur mémoire.
En effet, pour le président de l’Assemblée, la mort d’un soldat français n’a pas un caractère "exceptionnel".
Nous vous laissons prendre connaissance de la réponse de Bernard Accoyer adressée à Nicolas Dupont-Aignan.
 





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